Tout le monde n’a parlé que de ça. Ça, c’était Cinéma Paradisio au Grand Palais. Un ciné drive in à l’américaine sous la célèbre verrière. Si je n’y ai pas mis les pieds, c’est pour tout plein de raisons. D’abord parce que la plupart des séances affichait complet en plus de temps qu’il ne fallait pour réserver. Ensuite parce que les avis négatifs sur le côté « attrape-abruti » se multipliaient. Enfin et surtout parce que le Tout Paris s’y pressait (voir mon avis sur le sujet).
Rares sont ceux en revanche qui ont daigné parler de Dynamo, l’autre exposition du Grand Palais.
Si je le fais aujourd’hui, c’est parce que cette très chouette expo va bientôt refermer ses portes sur ses secrets. Des secrets en forme de centaines et centaines d’oeuvres liées au thème de la lumière et du mouvement.
De salle en salle, le parcours qui se déroule de 1913 à aujourd’hui t’emmène dans son univers poétique, psychédélique et color(ique)é, loin du bourdonnement de la capitale. Et d’exhiber ici un tableau statique, là une oeuvre en mouvement dans laquelle tu pourras évoluer.
Le tout dans le cadre magique du Grand Palais.
Du temps tu prendras, des émotions tu éprouveras. Car un après-midi n’est pas de trop pour s’arrêter sur chaque réalisation et pour s’imprégner de l’atmosphère particulière de cette exhibition très réussie. Et pour ramener moult clichés que tu pourras ensuite instagramer/facebooker/twitter pour tous les faire bisquer.
Chose que je m’empresse de faire de ce pas avec toi (à but informatif, cela va de soit).