Quel est le point commun entre la tombe de Jim Morrison et la maison de Gainsbourg ? (ne cherche pas la blague dans cette question, d’abord parce que je suis nulle en blagues, ensuite parce que ça n’en est pas une). La réponse donc : elles portent toutes deux les traces d’affection des fans des deux hommes et sont devenues, grâce à ces « œuvres d’art » deux attractions à part entière dans la Ville Lumière.
Ce n’est pas dans les allées du cimetière du Père Lachaise que je t’emmène aujourd’hui mais dans le 7ème arrondissement de Paris. Je ne suis pas très fan de la rive gauche mais force est de constater que ce n’était pas le cas de Gainsbourg. C’est dans une petite rue tranquille à deux pas des Beaux Arts de Paris qu’il a élu domicile en 1969.
Si la maison de Gainsbar était déjà convoitée lors de son vivant, elle s’est transformée en véritable cénotaphe après sa mort. A tel point que les riverains ont renoncé à nettoyer les dizaines de graffitis, dessins, déclarations d’amours, petits mots qui squattent les murs de l’ancien domicile du chanteur.
Si on ne peut rentrer à l’intérieur de l’antre de l’artiste (qui appartient aujourd’hui à Charlotte) la façade vaut le détour. Parenthèse colorée au milieu de tous ces immeubles tristes, elle a éclairé ma journée comme la rue Crémieux l’avait fait…
5 commentaires
Tellement vraie comme phrase : »La vie ne vaut d’être vécue sans amour »… La javanaise est sans doute la plus belle chanson d’amour au monde :)
Bravo Solcito!!!
Paris revisité. C’est une idée superbe à developper. Il y a tant et tant de sujets dans cette direction. Fonce Solcia et continues à nous faire rêver. (Tu peux aussi trouver l’inpiration dans le livre de Lorent Deutch « le métronome »)
incredible ensemble!
[…] déjà passé chez Lui il n’y a pas si longtemps. Mais Sa porte était restée définitivement close. Mais en une […]