Accueil Fort fort lointain Un séjour à Madagascar au cœur de Mada(me) Nature

Un séjour à Madagascar au cœur de Mada(me) Nature

de Solcito

Précédemment sur Solcito, je saluais une dernière fois les Seychelles et m’apprêtais à découvrir une destination à la fois proche (1824 kilomètres, une broutille) et lointaine. Un pays voisin pourtant radicalement différent, posé sur les flots du même océan. Cinq jours après avoir plongé mes palmes dans l’océan Indien, je m’envolais donc pour un séjour à Madagascar. A la fois crainte et admirée, Mada laisse rarement indifférent. Beaucoup rêvent de la rencontrer mais certains se demandent si c’est une bonne idée. Parce que j’ai eu la chance de faire la connaissance de Madame Mada, je le dis haut et fort : oui ça l’est. Et j’espère un jour y retourner. Voici le récit d’un voyage pas comme les autres sur les terres d’une grande Dame.  

Jour 1 : Seychelles-Mada, quelques heures d’arrêt

Mada(me) rêve d’apesanteur, Des heures des heures de voltige au dessus d’un paysage à se rouler par terre. Cela tombe bien car nous devons passer chez un voisin plutôt photogénique afin de rejoindre la terre convoitée. Rendez-vous chez Maurice, le roi du lagon, juste le temps de récupérer un nouveau tampon (dans le passeport) et de changer d’avion.

En matière de jolis panoramas, je vais être servie pendant la poignée d’heures de voyage qui va suivre. Il me suffit de jeter un œil par la fenêtre ovale pour admirer ce qu’il se trame à quelques milliers de mètres en dessous de mon siège. Résultat : du bleu, du bleu et encore du bleu. Peu à peu, le turquoise s’obscurcit pour devenir bleu marine puis orangé. Bienvenue à Madagascar, terre de feu et de contrastes. Comme j’ai hâte de poser le pied dans ce pays qui m’émerveille déjà du ciel.

Le parcours : Seychelles > Île Maurice > Tana

Pour filer des Seychelles à Mada : Départ à 9h45 de Mahé, arrivée à 12h45 à Port Louis. Le temps de récupérer son sac, sortir et repasser la douane (avec son billet électronique imprimé) et il sera déjà l’heure d’embarquer sur le vol suivant avec Air Mauritius. Départ à 14h10, arrivée à Tana à 15h05

Escale île Maurice   Avion Madagascar

Jour 2 : Mada(me) découvre

Premiers kilomètres et déjà premiers émois dans le bus qui nous trimbale dans les rues d’Antananarivo alias Tana. Rien d’extraordinaire dans ces avenues où les locaux vaquent à leurs occupations, et c’est sans doute cela qui est extraordinaire. Ici, des linges étendus à même le sol, là des milliers d’échoppes multicolores posées le long de la route, plus loin des collines sacrées que nous découvrirons plus tard. Nous sommes dans le vrai et dans l’instantané, loin du paraître Instagrammable.

La première matinée s’étire doucement sous le soleil local au salon du tourisme international (<= sorte de Top Résa sous le ciel bleu malgache pour les connaisseurs). Après avoir rencontré et papoté avec les pros du voyage, je m’offre une pause en rendant une petite visite aux stars locales aka les lémuriens. Dans ce parc posté à quelques 22 kilomètres d’Antana, cinq des 101 espèces vivent des jours paisibles au bord de la rivière. Rares sont les touristes à croiser ma route cet après-midi là, contrairement aux écoliers qui sont nombreux à fouler les allées de ce joli endroit coupé du monde.

2ème jour : Antananarivo

A voir / faire :

  • International Tourism Fair Madagascar (ITM) : tous les ans au mois de mai/juin. https://www.itm-madagascar-tourisme.com/
  • Lemur’s Park : Route Nationale n°1, PK 22, Katsaoka, Imerintsiatosika – Route d’Ampefy. Tél : 033 11 252 59. Tarifs : 1 à 3 adultes : 35 000 AR / personne (15 000 pour les enfants de 4 à 12 ans)

Pour que tes nuits soient douces : Hôtel La Combava – Lot IV F 1C Ambodihady Ambohimanarina, Antananarivo 101. Tél. : +261 32 11 584 95. hotel-combava.com

Séjour à Madagascar

Séjour Madagascar

Madagascar

Taxi Madagascar

Madagascar Tana

Lemur's Park Tana

Lémurien Madagascar

Lemur's Park Madagascar

Lemur's Park Tana Madagascar

Jour 3 : Mada(me) part à l’aventure

Il est temps de quitter Tana pour mieux y revenir plus tard mon enfant. Direction Morozevo, dans l’est, pour un nouveau moment en compagnie des créatures locales. Premier arrêt à la ferme aux reptiles de Peyrieras pour saluer ses habitants. Serpents, minis-grenouilles, caméléons, papillons géants et même hérissons… Tout ce petit monde vit sa vie pendant que nous vivons la nôtre (<= les chercher dans les feuillages et les shooter sous tous les angles).

Bref, nous jouons à cache cache avec des bestioles qui se souvient guère de notre présence et se planquent gaiement dans la végétation. Heureusement pour nous, les braves bêtes ont revêtu leurs écailles de lumières. Des fringues multicolores qui nous permettent de les repérer sans trop de difficultés au milieu des arbres. Si cette ferme nous en met plein les yeux et participe à la protection des espèces, force est de constater que la plupart des bêtes vit en captivité, dont certains dans des sortes de cages… Prochain challenge (accepté) : recroiser leur route le lendemain dans leur habitat naturel.

Malgré les 150 kilomètres qui nous séparent du bout du monde (l’écolodge du Relais du Naturaliste) la route sera longue (3h) mais cela ne me fait point sourciller. Le reste de la journée se déroulera derrière la fenêtre d’un bus, à admirer ce pays sous ses moindres coutures, à s’arrêter ici ou là pour papoter joyeusement avec les habitants, manger un bout, croquer le moindre morceaux de cette île délicieuse.

Le parcours : Tana > Marozevo > Vohimana

A voir / faire :

  • Ferme aux reptiles de Peyrieras : Sur la route de Tana à Toamasina, après la descente de la Mandjako et le barrage
    PK 72, Marozevo. Tél. : +261 33 13 751 65

Ferme aux reptiles de Peyrieras

Ferme aux reptiles Peyrieras

Ferme aux reptiles de Peyrieras Madagascar

Caméléons Madagascar

Voir caméléons Madagascar

caméléons malgaches

Reptiles Madagascar

Serpent Madagascar

Ferme reptiles Madagascar

Mini-caméléons Madagascar

Paysages Madagascar

Campagne Madagascar

Campagne malgache

Route madagascar

Rencontre malgache

Population locale malgache

Jour 4 : Mada(me) randonne de jour comme de nuit

Pour accéder à l’écolodge, il faudra abandonner toute forme d’engin motorisé. Dormir au paradis se mérite : une petite heure de marche à travers la végétation et à même des rails (<=cf un célèbre trek au Pérou) où passent quelques rares trains dans la journée. Un conseil donc : apporte le minimum vital pour passer cette nuit pas comme les autres, que tu choisisses de porter toi-même ton paquetage ou que tu te fasses aider par des porteurs (note que ce service leur permet de gagner des sous, ce qui est une bonne chose pour la population locale).

A notre arrivée, nous découvrons que l’établissement est loin d’être un 5 étoiles mais qu’importe, nous en avons des millions dans les yeux rien qu’en posant nos valises dans notre cahute. Cette nuit, des milliards brilleront juste au dessus de nos têtes lorsque la nuit fera timidement son apparition. Un vrai luxe qui vaut tous les palaces du monde.

Justement, l’obscurité enveloppe déjà la somptueuse vue sur la forêt de Vohimana qui enfile ses habits de nuit. C’est le moment que choisit notre guide pour nous proposer une randonnée à travers la forêt. Chemin faisant et dans le noir le plus complet, nous croisons la route de minuscules grenouilles, phasmes, insectes non identifiés et mini-caméléons (<=challenge réussi !) qui roupillent solidement accrochés à leur branche. Difficile de prendre (ou plutôt de réussir) des photos de ce moment magique, la lampe de nos smartphones étant notre unique source lumineuse. Il nous restera des souvenirs, des bruits et des parfums de cette promenade un peu folle dans les bois.

Après une courte nuit, le trek reprend aux premières lueurs du jour. La forêt est toujours la même sous le soleil et pourtant quelque chose a changé. Les animaux nocturnes dorment à pattes fermées, ils ont laissé la place à d’autres spécimens qui se réveillent lentement au rythme de nos pas. Bientôt, il faudra quitter ce lieu où je ne remettrai sans doute jamais les pieds. Remercier chaleureusement l’équipe qui prend soin des locaux et de la forêt. Géré par l’ONG L’Homme et l’Environnement, l’écolodge propose en bonus des visites de pépinières, d’associations villageoises et de la distillerie éponyme.

La journée s’achève en compagnie de l’adorable Sophie, qui nous (ra)conte les belles histoires du coin et les actions réalisées par l’organisation, comme l’installation d’un centre de naissance au cœur du village d’Anbavaniasy. Je m’endors les yeux en cœur, bercée par les étoiles qui scintillent de dix mille feux au dessus de ma tête.

Le parcours : Vohimana

Pour que tes nuits soient douces (et étoilées) : Ecolodge du Relais du Naturaliste – Réserve de Vohimana, Ambavaniasy, PK 148. Tél. : +261 32 52 502 34 ou +261 32 05 386 30 (bureau de Tana). ecotour@mate.mg. https://www.vohimana.com

Ecolodge de Vohimana Madagascar

Ecolodge de Vohimana

Ecolodge Madagascar

Randonnées Vohimana Madagascar

Randonnées Vohimana

Randonnée forêt Vohimana Madagascar

Randonnées forêt Vohimana Madagascar

Randonnée Vohimana Madagascar

Insecte Madagascar

Trek Vohimana Madagascar

Distillerie Vohimana Madagascar

Villages Vohimana Madagascar

Village Anbavanlasy

Viande de zébu Madagascar

Ceci est du zébu, l’une des spécialités locales que l’on mange à toutes les sauces !

Anbavanlasy Madagascar

Centre de naissance Anbavanlasy Madagascar

Artisanat malgache

Jour 5 : Mada(me) prend de la hauteur

Respirer. Ne pas se retourner. Ne pas se pencher. Mais regarder tout de même. Admirer. Se remplir la tête de beauté et les poumons d’air frais. A quelques centaines de mètres en dessous de nous, la nature offre un spectacle de haute-voltige. Une bonne nouvelle pour les yeux, une information plus compliquée à gérer pour mon cerveau qui n’aime pas trop le vide. Pour le retour en terre connue (le bus), nous devons d’abord déambuler sur un pont vertigineux qui ne porte aucune protection. Résultat : encore une victoire de canard notre fine équipe.

A partir de maintenant et jusqu’au départ, nous allons vivre de nombreux moments en apesanteur. Cela commence immédiatement avec la visite de la Réserve spéciale – accroche-toi pour l’orthographe et la prononciation – dAnalamazaotra. Si cette forêt-là n’a pas élu domicile dans des montagnes, c’est au dessus de nos têtes que cela se passe, tant pour admirer certaines espèces d’arbres et de plantes (orchidées, fougères, toussa), que pour chercher l’attraction du coin, la star locale, la vedette intersidérale des lieux.

Roulement de tambour et de nos cœurs dans nos poitrines. Va-t-on avoir la chance de croiser la route d’un Indri Indri ? Le plus grand lémurien de la planète aime jouer avec les branches et surtout avec nos nerfs. Chassés durant un paquet d’années pour leur viande, les Indri et leurs copains lémuriens sont peu à peu protégés par le gouvernement. Le chemin est encore long, mais l’éco-tourisme commence doucement (mais sûrement) à reprendre du poil de la bête (sans mauvais eu de mot) dans le pays.

Il faut s’armer de patience, d’un solide zoom et de bons réflex(e)s pour avoir la chance de 1. apercevoir un ou plusieurs individus 2. ramener un cliché à peu près réussi 3. esquiver le pipi des mammifères qui boivent visiblement beaucoup d’eau. Pour la mission 1, il suffit de rester la tête en l’air (attention aux torticolis) et tendre l’oreille, les bêtes poussant un cri très caractéristique (et légèrement flippant).

Mission 1 et 3 réussies. Malheureusement pour nous, les loulous ne descendront pas jusqu’à nous. Il faudra se contenter d’une rencontre à quelques 5 mètres du sol mais c’est le jeu Simone. Dame Nature (et ses disciples) fait ce qu’elle veut et c’est tant mieux. Ciao l’artiste, nous te quittons à regret…

Le parcours : Vohimana > Andasibe

A voir / faire :

  • Réserve Spéciale Analamazaotra : Annexe du parc national d’Andasibe-Mantadia. Par la RN°2 : Antananarivo – Moramanga : 110km, puis Moramanga-Andasibe : 26km. Tél. : +261 20 56 832 21
  • Lire l’article de The Green Geekette à propos des prémisses de l’éco-tourisme et de la protection des animaux dans le pays : Tourisme responsable et durable à Madagascar : les lémuriens du Parc Andasibe

Pour que tes nuits soient douces (et très fraîches en hiver) (n’oublie pas ta petite laine) : Hôtel Analamazaotra. www.analamazaotra-hotel.com

Réserve Spéciale Analamazaotra 

Visite Réserve Spéciale Analamazaotra 

Réserve Spéciale Analamazaotra Madagascar

Réserve Analamazaotra Madagascar

Analamazaotra Madagascar

Balade Réserve Analamazaotra Madagascar

Réserve Analamazaotra Indri Indri

Réserve Analamazaotra lémurien Indri Indri

Visiter Réserve Analamazaotra 

Végétation Réserve Analamazaotra 

Arbre sacré Réserve Analamazaotra 

Flore Réserve Analamazaotra 

Paysage campagne malgache

Flore Madagascar

Bébé madagascar

Jour 6 : Madâââ(me) Tana

C’est reparti pour un tour dans les hautes sphères malgaches. Rendez-vous à quelques 1468 mètres de hauteur pour fouler (sans trop se fouler) la colline d’Ambohimanga, accessible en quelques coups de volants ou de pieds si tu es (très) motivé(e). Outre la vue fort photogénique sur la ville, la montagne sacrée accueille l’ancien palais des têtes couronnées. C’est Stéphane Bern qui serait content mais malheureusement pour lui, il n’est pas du voyage. Devenu lieu de pèlerinage, l’endroit permet aux touristes néophytes que nous sommes de s’abreuver d’anecdotes, d’histoires et surtout de l’Histoire de l’île.

Andriambelomaso, Andrianjafy, Andrianampoinimerina, Ranavalona… Il faut s’accrocher pour retenir le noms des souverain(e)s qui ont régné sur le pays. A défaut, on dévore des yeux la somptueuse demeure royale admirablement conservée (attention photos interdites à l’intérieur) dans laquelle tu pourras croiser pèle-mêle : la chambre du roi (rien à voir avec celle du nôtre à Versailles, je ne t’en dis pas plus), des bains extérieurs, une salle de conf’, un parc à bœuf, un monument pour la fertilité, un cimetière royal et j’en passe. Une visite d’une demi-journée à ne rater pour rien au monde, pour toutes ces raisons et celles évoquées dans cet article dédié.

La journée se poursuit dans la Haute Ville. Entre deux séances de shopping à la recherche d’huiles essentielles locales et autres merveilles malgaches, nous posons nos derrières sur les sièges du Lokanga, l’un des fleurons hôteliers de la capitale malgache. Si nous ne dormirons pas ici cette nuit, nous profitons du dernier coucher du roi soleil qui nous fait l’honneur de cet ultime spectacle. Au revoir chère Madame. Veuillez agréer en l’assurance de mes salutations distingués. En vous remerciant pour ce si beau séjour et en espérant vous revoir très prochainement (bisous).

Le parcours : Andasibe > Tana > Paris

A voir / faire :

  • Colline d’Ambohimanga : Ouvert tous les jours jusqu’à 18h
  • Ramener de chouettes trucs de Mada : (pour les souvenirs, je déconseille vivement le marché artisanale à l’entrée de ville, plus un repère pour touristes qu’autre chose).
    • La Distillerie du Maïdo / La Ferme de Morarano (huiles essentielles et autres produits naturels) : quartier Isoraka derrière l’église Ambatonilita / 60 m du resto Kudeta. lafermemorarano@yahoo.fr / ladistilleriedumaidodambatolampy@yahoo.fr
    • Lisy Art Gallery : Rue VVS Antanimora (route du Mausolée) en face du cercle, Mess de la Police nationale, Tana 101. lisy.gallery@gmail.com
    • Boutique Anay : Gare SoaranoPK0, Tana 101. anay.madagascar@gmail.com
    • Rabearivelo Dina (artiste, plasticien, peintre, dessinateur) : dinarabearivelo@gmail.com
  • Pour que tes nuits soient douces (et luxueuses) : Lokanga Boutique Hôtel – lot VW 115 Ambohimitsimbina, Antananarivo 101. Tél. : +261 20 22 235 49. www.lokanga-hotel.mg

Colline d'Ambohimanga

Colline d'Ambohimanga Tana

Colline sacré d'Ambohimanga Tana

Palais royal Ambohimanga

Antananarivo

Hôtels Antananarivo

Vue Antananarivo

Coucher de soleil Tana

Sunset Antananarivo

Tana by night

Pour info, ce séjour à Madagascar a été réalisé dans le cadre d’un partenariat avec  l’office de tourisme de Madagascar que je remercie chaleureusement pour son accueil. Je reste cependant libre de mes écrits. 

 

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19 commentaires

mitchka 10 septembre 2018 - 9 h 44 min

La victoire de Canard ?? Sérieusement ??

Le texte est superbe, plein d’enthousiasme … mais au final je ne retiens que le canard :p

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Solcito 10 septembre 2018 - 12 h 17 min

Oui, oui c’est très sérieux (coin coin).
Merci pour ton enthousiasme à toi à la lecture de cet article <3

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Aurélie 10 septembre 2018 - 11 h 53 min

Je suis amoureuse des lémuriens et des caméléons… dès que je vois une photos de ces bêbêtes j’ai la même réaction que devant un chaton mignon… XD

Un de mes grands rêves mada… j’ai failli y aller il y a quelques années, j’avais le billet et tout… et… j’ai été prise contre toute attente dans une formation pour laquelle je croyais n’avoir aucune chance de rentrer… La mort dans l’âme j’ai du renoncer et voir mes parents y partir, revenir, et me dire à quel point c’était magique.

J’ai rangé mon rêve dans un carton, et je n’ai pas eu le courage de le relancer…

Mais peut-être que je vais me remotiver après tout ! Je dois dire que lire ton article à réveillé un peu l’étincelle…

Il y a tant à voir sur cette île… un seul voyage ne suffit pas ! Les baobab, les hautes terres, les pangalanes…

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Solcito 10 septembre 2018 - 12 h 21 min

Oui il faudrait une vie (et même plus) pour voir tout ce que Mada à offrir.
Ravie d’avoir réveillé l’étincelle. J’espère que tu auras l’occasion d’y aller et que tu ramèneras de jolis mots de ton escapade.

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Virginie 10 septembre 2018 - 22 h 53 min

J’adore andasibe ! J’ai adoré aussi ta description pour voir les lémuriens et moi, ils m’ont fait dessus !! (La grosse commission en plus!)

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Solcito 12 septembre 2018 - 9 h 17 min

Hahaha, désolée Virginie mais je ris (c’est l’Indri Indri qui s’est lâché sur toi ?).
Je ne savais pas que tu étais allée à Mada, on en discute quand tu veux sur les RS !

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Virginie 12 septembre 2018 - 11 h 51 min

Oui, c’est ça, je pense que c’était un Indri indri mais ne suis plus sûre… J’y suis allée plusieurs fois à l’adolescence, car mon père habitait là bas, juste sous le Rova de Tana. :-)

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Solcito 12 septembre 2018 - 12 h 30 min

Est-ce qu’il était énorme et sortait des cris un poil (sans mauvais jeu de mot) chelous ? Si oui, c’était bien lui :)
(Cette chance, tu dois bien connaître l’île alors…)

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Kanto 11 septembre 2018 - 18 h 20 min

Merci pour ce super article et les photos ! Petit moment de nostalgie :)
J’espère pouvoir y revenir bientôt et faire un petit tour à la ferme de Morarano qui m’est encore inconnue ! Sinon pour les autres boutiques, je valide ;) On y trouve vraiment de beaux souvenirs de Mada !

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Solcito 12 septembre 2018 - 9 h 21 min

Quand une Malgache a aimé ton article et valide tes adresse => smiley yeux en cœur.
J’espère que tu auras l’occasion de revenir vite sur ton île aux trésors.
Merci pour ton commentaire :)

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chacha aventurière 12 septembre 2018 - 7 h 01 min

Tu m’as fait rêver à travers ce bel article tout en couleurs.
T’es une vrai Aventurière toi en vrai. Les bêbêtes et moi ont n’aient pas trop amis alors je pense pas qu’un jours j’irai poser les pieds sur ce petits joyaux au bout du monde.
Merci du partage dans tous les cas

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Solcito 12 septembre 2018 - 9 h 25 min

Je suis sûre que tu fondrais comme moi devant les mini-caméléons ou la toute petite grenouille (non mais tu as vu la choupinance ??).
J’ai découvert sur place qu’il n’y avait aucune bestiole dangereuse à Mada donc tu peux prendre tes billets dès maintenant.
Merci à toi pour ton commentaire <3

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Gash0u 15 novembre 2018 - 22 h 57 min

Très bel article! Ca me rappelle quelques petits souvenirs quand j’ai visité le parc d’Andasibe et le Palais avec mon école. J’espère pouvoir y retourner bient^t et me faire de nouveau souvenir :D

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Solcito 16 novembre 2018 - 10 h 04 min

Merci beaucoup pour ton commentaire… J’espère y retourner aussi. Croisons les doigts ensemble, ça peut peut-être marcher !

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Tiphanya 23 novembre 2018 - 15 h 02 min

Minute confidence.
Avant ton article sur Lens, je n’ai pas le souvenir d’avoir jamais lu aucun de tes textes, alors même que je te suis sur les RS.
Me voici de retour pour fouiller ton blog (je commence par la surface) car j’aime beaucoup tes jongleries avec les mots. Et puis, l’Afrique sub-saharienne me fait rêver, et tes photos ne font que renforcer mon envie.

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Solcito 27 novembre 2018 - 12 h 25 min

Minute remerciements.
Il y a tellement de (chouettes) blogs, qu’il nous faudrait des heures et des jours pour pouvoir les parcourir.
Quoiqu’il en soit, ton commentaire me fait grandement plaisir. Merci beaucoup d’être passée par ici (et sache que tu es la bienvenue quand tu veux !).

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Alexandra - On holidays again 7 décembre 2018 - 20 h 05 min

Les caméléons ont l’air incroyablement dingues là-bas ! Madagascar c’est un peu une énigme pour moi. Je sais que ça existe, mais je ne sais pas trop à quoi m’y attendre. Merci pour ce bel article et toutes ces photos ;o)

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Solcito 29 décembre 2018 - 15 h 40 min

Merci à toi d’être passée par ici et pour ton commentaire.
J’espère que tu auras l’occasion d’aller un jour à Mada et que tu y croiseras plein de caméléons (et de lémuriens).

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Voyage Nosy Be 30 décembre 2019 - 8 h 27 min

Très joli voyage et très joli récit. Les photos sont magnifiques. Madagascar n’a pas autant de vestiges du passé que beaucoup de pays mais côté faune et flore, elle a de quoi couper le souffle.

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