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La tête dans les étoiles

de Solcito

Nos étoiles contraires

C’est un beau roman, c’est une belle histoire dont il est question en cette belle journée de mois de juillet. Mais cette romance d’aujourd’hui risque fort de mettre à mal ton mascara si celui-ci n’est pas waterproof. Dès le début, le ton est donné par l’héroïne elle-même : Nos Etoiles Contraires n’est le genre de love story qui marie les héros et leur fait faire beaucoup d’enfants.

Rédigé en 2012 par James Green, ce best seller américain squattera dès le 20 août prochain les salles obscures de l’hexagone. Adapté par le réalisateur Josh Boone, on suit Hazel Grace et Gus, deux ados rongés par un mal incurable, qui se rencontrent dans un groupe de soutien pour les malades du cancer.

La suite du film nous entraine dans leur histoire d’amour folle, drôle et surtout pleine de vie. Et c’est sans doute ici la spécificité de ces Etoiles contraires qui savent se démarquer sans mal des autres long-métrage sur le thème de la maladie. On rit, on pleure, on sourit, on met une claque à son paquet de Kleenex extra-doux.

Et on ose parler de sujets parfois tabous. Ainsi l’héroïne n’hésite pas à demander aussi calmement que sérieusement à ses parents ce qu’il feront après son décès.

Si Nos étoiles contraires aurait pu être sponsorisé par une marque de mouchoirs, jamais le long-métrage ne sombre dans le mélo grâce à sa délicatesse, à sa beauté et au jeu parfait des deux acteurs principaux. Titanic peut aller se rhabiller.

Frère et soeur dans le Blockbuster Divergente (ne compte pas sur moi pour te faire le résumé du film) le duo de comédiens Shailene Woodley et Ansel Elgort crèvent l’écran et feront de même avec ton petit coeur fragile.

Autant le mettre au parfum avec la bande-annonce ci-dessous…

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